Le Népal compte trois villes royales : Katmandou, Patan et
Bhaktapur, et chacune d’elles dispose de sa place du Darbâr qui concentre le
palais royal et divers temples. Mais aujourd'hui, toutes les villes royales ont
souffert du terrible séisme de 2015. Nous décidons de faire quand même un tour à Patan Darbâr et d'en profiter ainsi, pour aller voir le temple d'or, qui lui, selon nos renseignements, serait intact.
9h30, nous nous mettons en route à la recherche d'un taxi qui ne demande pas trop cher pour aller à Patan. Une fois trouvé, la circulation est telle qu'il nous faut presque une heure pour y arriver.
Sur place, nous sommes vite prévenus par ce panneau explicite.
Pour voir des ruines et des échafaudages, nous évitons de devoir payer les 2000 Rs P/P (total 30 euros !) en passant par une ruelle. Faut pas exagérer non plus !!!
Durban Square est devenu un grand chantier. Il est bien difficile dans ces conditions de s'enthousiasmer devant les monuments.
Mais parfois, il arrive quand même de pouvoir rêver.
Tout comme à Katmandou, le Durbar Square de Patan se visite à une vitesse V prime.
Par contre, il est aussi tout à fait possible de trouver des endroits de quiétude.
Le Temple d'or , de son vrai nom Hiranya Varna Mahavihar, est
un temple bouddhiste qui fut construit au 12ème siècle par le roi Bhashar Varna et dédié au
Bouddha Shakyamuni.
C'est dans ce coin paisible du Temple d'or que nous terminons nos visites dans Katmandou. Au retour de nos treks, nous finirons par Bodnath (également appelé Bouddhanath), l'un des plus grands stupas du monde, en tout cas, le plus apprécié des
tibétains au Népal. Mais cette visite se fera d'en plus de deux mois.
A Patan, le musée du Durbar mérite hautement la visite. Inclus dans le prix d'accès au Durbar, justifiant ainsi son paiement.
RépondreSupprimerFabrice
Je suis entièrement d'accord avec toi. Mon commentaire n'était valable que pour Durbar Square où cela m'a fait mal de devoir constater tous les dégâts. C'est très triste pour la ville, mais encore plus pour les katmandais.
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire.
Serge