lundi 26 novembre 2018

Katmandou

Nous décidons d'aller visiter Boudhanath, le plus grand stupa du Népal, après le petit déjeuner. Nous partons vers 10h30 à la recherche d'un taxi que nous trouvons rapidement. Mais quelle circulation de dingue, c'est l'embouteillage permanent. Heureusement que nous avons pris un taxi, car c'est plus loin que nous pensions. 

Boudhanath est un sanctuaire très fréquenté que ce soit par les touristes que par des népalais et des réfugiés tibétains. Donc oui, il y a du monde, mais il y fait étonnamment très calme. Nous faisons plusieurs fois le tour du stupa, en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre et nous montons aussi au niveau supérieur. 



Nous visitons également le monastère Guru Ghakhang Monastery, un des plus vieux monastères autour de la zone du stupa. Il contient de très belles statues. Nous faisons des offrandes pour lesquelles les moines nous offrent une cordelette en la mettant à notre cou. Après quelques instants de médiation, nous reprenons notre circumambulation. 





Après avoir mangé des momos vegetable et pris un peu de repos sur un banc, nous retournons en taxi à l'hôtel, dans une circulation encore plus dense que ce matin. 

Nos aventures au Népal nous ont fait perdre pas mal de poids, mais nous allons rentrer avec de merveilleux souvenirs plein la tête et ça, c'est sans conteste le plus important.


L'avion est prévu pour le 29 novembre.



Le 30, on survolait Bruxelles et l'Atomium, qui est à deux pas de chez nous.


lundi 19 novembre 2018

De Nunthala à Ringmu, puis Salleri et retour à Katmandou

Au petit matin, il fait déjà brumeux. Et cela restera ainsi pour le reste de la journée, à part quelques rares éclaircies au col Taksindu La.

Nous voilà partis pour une bonne grimpette de +/- 800 mètres. Le chemin n'est pas trop difficile, heureusement. Au bout de 2h30 de marche, nous arrivons au village de Taksindu où nous faisons un arrêt pour manger une soupe en face du monastère (qui semble fermé).
Reprise de notre ascension jusqu'au col que nous atteignons 1/2 heure plus tard. Nous nous arrêtons à l'unique lodge où nous avions dormi le 22/10. Tout en dégustant quelques frites, nous discutons avec un couple de californiens que nous avons déjà rencontré plusieurs fois les jours précédents. 

Nous entamons ensuite notre descente par un chemin terriblement abîmé par le creusement de la route. Ce n'est plus un chemin, c'est presque de l'à travers tout. 
Nous passons près d'un très vieux beau stupa qu'un bref rayon de soleil vient illuminer, juste pour la photo. Après une heure de ce mauvais chemin, nous sommes contents d'atteindre Ringmu, village rural assez étendu. Arrivés au croisement des chemins, nous nous arrêtons au lodge Numbur Vieux Cheese Factory. Quand nous demandons à notre hôtesse où se trouve cette cheese factory, elle nous répond que cette fabrique est loin dans la montagne, à 3 heures de marche. Bon, on achètera un morceau de fromage à notre hôtesse. 
Il fait drôlement froid et la dame du lodge allume le feu dans le poêle dès 15h. Nous resterons autour du poêle jusqu'au repas du soir, avec le chat gris de la maison sur les genoux.
Pour souper : pizza tomate fromage et spring roll vegetable.

Temps de marche : 4h15
Nunthala - Taksindu : 2h30
Taksindu - col Taksindu La : 1/2 h
Taksindu La- Ringmu : 1h15

Le 20/11

Il a bien gelé cette nuit et toute la végétation est recouverte de givre. A 7h40, nous entamons notre dernière journée de trek. Nous commençons à descendre par un sentier pour très rapidement se retrouver sur la route. En fait, l'ancien chemin est en contrebas, mais la route est plus facile et c'est presque tout le temps, de la descente. Pascale marchant à son aise, j’accélère le pas et bientôt, je ne la vois plus derrière moi. Pour une fois, je continue seul sur cette route facile qui traverse quelques hameaux. 

Après 3 heures de marche, je vois la piste d'aviation de Phaphlu, qui est hyper courte. 
Une dernière vue sur la vallée et les pointes de 2 sommets enneigés. Car ici, fini les montagnes, ce ne sont plus que de grosses collines râpées, avec de rares sapins. 

Pascale arrive 20 minutes plus tard.



 Je lui demande si elle veut une soupe ? et elle me répond : non ,je ne prendrai qu'un Coca. Puis, nous repartons à la recherche de taxi ou bus pour Katmandu. Comme nous ne trouvons rien qui nous convienne, nous descendons jusqu'à Salleri.



 Dans cette ville, nous trouvons rapidement un kiosque infos. Renseignement pris, le prix du bus est de 1100 NRS/pers alors que le prix du taxi collectif est de 1600 NRS /pers. Vu le peu de différence de prix, nous privilégions le taxi (plus rapide) que nous réservons pour demain matin. 
Par contre, pour trouver à se loger décemment, c'est plus problématique. Il n'y a que des "trous à rats". Finalement, nous choisissons un lodge un peu, mais vraiment un peu plus convenable que les autres, chez une petite dame. Après s'être installés, nous nous baladons dans la rue principale qui présente de nombreux shops. Parmi ceux-ci, beaucoup de magasins de vêtements présentant des contrefaçons. Mais ce qui nous surprend le plus, c'est la circulation dense de tracteurs et camions, à laquelle nous n'avions plus l'habitude.
Pour souper : momos à la viande.

Temps de marche : 3h40
Ringmo - Phaphlu : 3h20
Phaphlu - Salleri : 20 minutes

Le 21/11


3h15, le réveil sonne. Après nous être habillés et avoir fait les sacs, nous descendons doucement au rez-de-chaussée. La petite dame du lodge est déjà debout pour nous ouvrir les portes. 3h45 nous sommes devant l'agence de taxis, à attendre le 4X4. Nous partons avant 5 heures du matin pour 270 kilomètres. Pendant 4 heures, nous descendons la montagne par une bonne route, avec quelques nids de poule, en traversant plusieurs villages. Mais au croisement avec la route principale, c'est la cata, c'est pire que de la piste et nous sommes brinquebalés d'un côté à l'autre dans le véhicule. Heureusement, cela ne dure que quelques kilomètres. Ensuite, la route longeant la rivière, est bonne. Jusqu'aux embouteillages de Katmandu. Le chauffeur prend des raccourcis, notamment par l'arrière de l'aéroport, puis nous passons devant Bodnath que nous visiterons dans quelques jours. 
C'est vers 15h30 que notre chauffeur s'arrête à son stand. De là, nous prenons un taxi pour Thamel et c'est avec bonheur que nous retrouvons notre hôtel Mantra Home.
Au resto, ce soir, c'est steak frites légumes et bière.

Maintenant notre aventure est belle et bien finie. Nous avons difficile à croire que nous sommes allés jusque là.




Quels souvenirs !!!

Maintenant, quelques jours de repos à Katmandou, puis retour à la maison. Mais avant, il faudra encore acheter des tickets d'avion pour Bruxelles.

jeudi 15 novembre 2018

De Bengkar à Surkey, Paiya et Nunthala

Nous voilà définitivement sur le chemin du retour. Hélas, vu la météo, nous avons déjà dû oublier notre circuit Namche Bazar, Kongde.


Et maintenant, nous devons encore changer le programme en ne faisant pas le Pikey Peak, avant de rentrer sur Salleri. Le brouillard n'est pas si important, mais toujours assez pour qu'il nous prive d'une jolie vue là-haut.


Tout cela est dommage, mais il faut bien avouer que l'Himalaya nous a offert une si belle aventure cette année, que nous ne pouvons absolument pas râler pour cette fin de circuit.
D'ailleurs, Pascale m'a posé une question pertinente, hier soir, en me demandant si nous étions encore assez en forme pour finir le circuit comme on l'aurait voulu ? Je lui ai répondu, que peut-être non !
Dès lors, nous sommes d'accord pour dire que cette mauvaise météo, nous a sans doute évité des problèmes ! 


Nous quittons Bengkar à 8h15 pour poursuivre notre descente dans la vallée. Aujourd'hui, il y a beaucoup de monde sur le chemin. Je suis d'ailleurs un peu triste pour eux, car je me demande ce qu'il vont pouvoir voir là-haut avec ce brouillard et cette pluie ?!
Vers 10h, nous passons sur un pont suspendu. Nous sommes au milieu du pont quand une caravane de mules s'engage dans l'autre sens. Le croisement est difficile et Pascale se fait coincer pendant quelques instants par une des mules. Pas de casse, mais elle aura mal aux côtes pendant quelques jours. 

Nous continuons jusqu'à Chheplung où nous bifurquons en prenant le chemin de droite, pour Salleri et Jiri, alors que celui de gauche monte vers Lukla.
Chheplung est un village bouddhiste, avec de nombreux murs mani et moulins à prières. Mais vous avez déjà pu voir tout ça lors de notre montée, nous ne faisons donc plus de photos.
Là, nous y cherchons le lodge où nous avions dormi lors de notre passage le 26/10. Mais nous ne le retrouvons pas. Déçus, nous poursuivons notre chemin et finalement, nous arrivons à Surkey vers 15h où nous nous arrêtons à la première GH. Je ne la trouve pas très top car il n'y a pas de poêle dans la petite pièce commune. Il nous faudra manger dans la cuisine à tour de rôle avec les autres touristes. Dans la fin d'après-midi, il commence à pleuvoir, cela continuera toute la nuit.

Dénivelé négatif : 340m
Benghar : 2630m
Surkey : 2290m


Le 16/11

Nous démarrons à 7h15 par une longue ascension, sur un chemin difficile et parfois raide, dans la forêt et à flanc de montagne. Parfois, entre deux nuages, nous avons une vue sur la vallée, mais le temps est trop mauvais pour faire des photos car les sommets ne sont plus visibles. 
Deux heure trente plus tard, nous arrivons au Chutok La, nous poursuivons jusqu'à Paiya où nous retrouvons la GH Everest (voir 25/10). Il n'est que 11h et nous profitons du lodge pour dîner : un spaghetti cheese tomates. Comme le ciel ne se dégage pas et que le village suivant est assez loin, Pascale désire rester ici jusque demain. Je trouve que c'est un peu trop tôt, mais ce que femme veut (hi, hi hi).

Temps de marche : 3h45
Surkey - Chutok La : 2h30
Chutok La - Paiya : 1h15


Le 17/11

7h30 petit déjeuner avec pancake au miel et chocolat.
8h15, les sacs sur le dos, nous traversons le village de Paiya, sous une météo nettement plus clémente, pour descendre vers le pont que nous traversons. Commence alors une longue ascension difficile. Le chemin, à flanc de montage est pierreux et traverse la forêt. Aujourd'hui, Pascale a un peu difficile à me suivre, aussi je me mets derrière elle pour être à son rythme.


A 11h15, nous arrivons au sommet, au Kari La. Nous buvons un thé en terrasse, d'où nous avons une superbe vue sur toutes les vallées. 
Nous reprenons mais cette fois, c'est pour une descente tout aussi difficile, puis un up & down. Cette portion nous semble bien longue et nous voyons Bupsa avec bonheur.


Depuis Bupsa, nous avons une vue sur l'autre versant où nous voyons Kharikhola. Il nous faut encore descendre jusqu'à la rivière, en croisant de nombreuses caravanes de mules. Passés le pont, nous remontons en traversant le long village de Kharikola. Nous nous arrêtons au lodge Peacefull où la dame nous avait très accueilli pour déjeuner le 24/10. Elle est aux petits soins pour nous et prépare de bons petits plats, tels que hash brown vegetable fromage et sherpa soup.


Temps de marche : 6h
Paiya - col Kari La : 2h45
Col Kari-La - Bupsa : 2h15
Bupsa - Kharikhola : 1h

Paiya : 2730m
Kharikhola : 2070m


Le 18/11

8h, nous prenons le petit déjeuner avec es œufs frits et des chapatis. 


Nous quittons cette bonne adresse à 9h15 et nous effectuons la petite montée pour sortir du village. 


C'est ensuite une descente plus difficile avec de nombreuses grosses pierres. Nous traversons le joli village champêtre de Jubing pour continuer à descendre, un peu plus facilement, vers le long pont suspendu de 109 mètres. On continue la route, mais cette fois, c'est pour une longue montée dans la forêt. Après 1h15 d'ascension, nous nous arrêtons dans un hameau, Thuleli, pour manger une soupe et quelques chapatis. Après ce repas frugal, nous reprenons notre ascension jusqu'à Nunthala où nous arrivons vers 15h, fatigués par ces nombreux dénivelés. Un coca est le bienvenu. Nous stoppons dans un lodge un peu vieillot et restons près du feu de la cuisine.


Temps de marche : 5h
Kharikhola - pont : 2h30
Pont - Thuleli : 1h15

Theleli - Nunthala : 1h15

mercredi 14 novembre 2018

Thamé - Bengkar

A notre lever, la météo s'est un peu améliorée depuis hier. Il y a du soleil mais aussi, pas mal de nuages sur les sommets, blanchis par le givre de la nuit.



Suite aux conseils de la patronne du lodge, nous n'irons pas par Kongde pour rejoindre la vallée Dudh Kosi. Cela nous prendrait, au minimum,entre 7 à 8 heures pour arriver à Kongde, mais comme il a bien gelé, la piste doit être verglacée et dangereuse. Et la météo n'y est pas non plus. Tant pis !

Nous faisons donc demi-tour vers Namché que nous rejoignons en 3 heures. Sur le chemin, on essaie de deviner sur l'autre versant, le chemin menant à Kongde, mais la piste ne semble pas être beaucoup utilisée. En cours de route, les sommets sont de moins en moins visibles. 



En chemin, ce n'est pas un thar que nous croisons, mais cette fois, c'est tout un troupeau.
On nous expliquera que lorsque les pommes de terre sont arrachées, les thars descendent de la montagne pour venir dans les champs chercher les féculents restants.



A Namché, nous achetons une couque suisse et un muffin au chocolat dans une bakery. 

Puis, nous entamons la longue descente dans la vallée pour rejoindre la rivière Dudh Kosi que nous traversons sur le pont suspendu Larja Dobhan. Nous longeons la rivière jusqu'au pont suivant que nous empruntons pour rejoindre à nouveau la première rive. 

Et voici le village de Jorsale où nous retrouvons le lodge Buddha où nous dînons. Il est 14h et nous reprenons le chemin jusqu'à Bengkar où nous nous arrêtons à l'Himalayan Guesthouse. 

Depuis Namché, nous n'avons fait que descendre.

Sur un mur de la GH, nous voyons une affiche représentant la vue sur la vallée depuis Kongdé. Magnifique ! On pourrait y aller en prenant le chemin démarrant un peu plus loin pour Kongde, mais cela ferait 1500m de dénivelé positif pour y arriver ! A réfléchir pour une autre fois, peut-être ?



Pour souper, pizza thon tomate et une soupe minestrone.
Les patrons nous surnomment "papa" et "mama".

Temps de marche 6h30
Thamé - Namché : 3h
Namché - pont Larja Dobhan : 1h15
Pont Larja Dobhan - Jorsale : 1h
Jorsale - Bengkar : 1h15

Dénivelé négatif : 1200m
Thamé : 3820m
Bengkar : 2630m




lundi 12 novembre 2018

Namché - Thamé

Lever 6h30.
Départ à 8h30 en grimpant les escaliers pour sortir de Namché. Nous passons devant le monastère et le petit hélicoptère où des clients attendent déjà leur hélico.


Nous entrons dans la vallée du Khola Koshi Nadi, jolie vallée boisée de sapins. Le chemin est facile et sablé jusqu'à Phurte. Après la traversée de ce village, nous poursuivons sur un petit chemin dans les sapinières..  

La balade est très agréable et en rien difficile. nous traversons plusieurs petits villages tout en descendent vers la rivière.




Les dessins sur rochers à Samsing.


Le stupa de Thamu.



Avec la rencontre d'un thar.

Et le dernier hameau de Thamte avant la descente vers le pont.



Nous passons le pont pour aller sur l'autre rive où nous avons une bonne grimpette à effectuer pour rejoindre la vallée Khure Kharka. Sur les hauteurs, nous remarquons que nous nous sommes trompés de pont et que nous aurions dû traverser le village  de Samde et continuer à flanc de montagne jusqu'au pont suivant. Mais bon, on arrivera aussi bien par ici ........


.................. puisque les deux chemins se rejoignent juste avant l'entrée de Thame.


Quand nous arrivons dans le village, le ciel se couvre de nuages et de brumes. Bientôt, nous ne voyons plus le monastère situé au-dessus du village. Nous logeons au lodge Everest Summitter.



Le lodge Everest Summitter appartient au champion toutes catégories de l'Everest. 
Il y est monté au sommet vingt et une fois.
On peut donc dire que le toit du monde est un peu sa maison !!!!!


En fin d'après-midi, je décide de monter au monastère. Etant donné que la brouillard est là, Pascale ne veut pas venir avec moi.
Me voilà en route. Lorsque j'arrive au stupa du gonpa, c'est déjà limite pour y voir quelque chose. Encore heureux que je n'ai pas un appareil photo argentique, aussi non, il serait illusoire de vouloir espérer faire des photos.




Quand j'arrive enfin devant le monastère, il est malheureusement en chantier. Mais j'ai toutefois l'occasion de pouvoir visiter la salle de prières. Dommage que je ne puisse pas y faire des photos car il y a de belles choses à l'intérieur.


J'ai quand même eu l'occasion de faire des photos dans la pièce du moulin à prières.



 Puis je passe dans une GH, située juste à côté du gonpa, A l'intérieur, se trouvent deux touristes qui ne sont pas ici pour la première fois. Si bien que nous papotons de ce qu'il y a à faire dans la région. Seulement voilà, le temps passe et lorsque je décide de redescendre, le crépuscule est déjà tombé.
Sans lampe, j'ai bien du mal à rester sur le chemin. Mais quand je suis arrivé dans le village, les choses se sont corsées, car je n'arrivais plus à retrouver le bon lodge. 
J'ai bien cru que je n'allais jamais y arriver et que je devrais passer la nuit dans un autre !!
Après maintes recherches, j'y suis quand même arrivé. Inutile de dire que ce fut le soulagement.

Le soir, nous discutons avec une famille française (parents, enfants et beaux-enfants) sur la montagne et les treks. les parents en connaissent un bout car ils ont une fameuse expérience de la montagne. Faut dire que lui est montagnard d'origine et sa femme l'est devenue par amour. "Nous profitons de cette page, pour les saluer chaleureusement (dans le désordre) Isabelle, Denis, Nath, julien, Noémie, Arnaud et Mingmar". Nous espérons que nous n'avons oublié personne.

Temps de marche : 4h30
Namché - Thamu : 2h15
Thamu - Thamé : 2h15

Dénivelé : 400m
Namché : 3440m
Thamé : 3820m
Le 13/11

Dès notre lever, c'est la purée de pois. En attendant que la brume  se lève, nous discutons avec la famille française. Mais la météo ne s'améliore pas et de plus, il fait vraiment froid. Si bien que nous décidons de rester ici jusqu'à demain. Quand aux amis français, ils ont décidé de quand même continuer en milieu d'après midi, vers le Renjo La. 



Vu la météo, il n'y a forcement pas beaucoup de clients ce soir, juste un couple de catalans qui ont su arriver. Nous sommes tous réunis autour du poêle avec la patronne et un moine.
Lorsqu'il n'y a plus de feu, nous allons tous nous coucher en espérant que la météo soit meilleure demain.