Etant donné que je suis resté au monastère durant sept jours, je ne vais pas vous détailler la totalité des cent soixante-huit heures que j'ai passées ici. Ce serait trop long et parfaitement inutile. Alors, j'ai choisi de ne vous parler que des moments forts.
Pour commencer, je vais vous dire que ce gompa se trouve tout en haut d'une colline, dominant, de ce fait, toute la vallée. De ce nid d’aigle, on a une vue imprenable sur le petit aéroport de Phaplu, ainsi que sur le Numbur avec ses 6959 m et le Katang haut de 6853 m.
Durant mon séjour, j'ai d'ailleurs pu photographier ce beau décor à plusieurs reprises.
Aujourd'hui, l'artiste peintre termine la restauration des fresques murales du moulin à prières qui trône juste avant la volée d'escaliers menant au monastère.
Vu de l'extérieur, on aurait vite fait de passer son chemin car le bâtiment ne reflète nullement ce que les visiteurs peuvent y découvrir une fois qu'ils ont franchi la porte.
La première chose qu'on est obligé de voir dans cette pièce qui ne fait pas plus de seize mètres carrés, c'est le grand moulin richement décoré.
Et les murs ne sont pas non plus avares de belles oeuvres bouddhiques.
Il est grand temps que le peintre termine la restauration car demain est le grand jour de l'inauguration. Il n'y a donc plus de temps à perdre !
Le 11 novembre
Dans la salle du moulin, tout est prêt pour accueillir le Rinpoche Sangsang, les lamas et tout naturellement, la famille qui a payé les restaurations.
Le Rinpoche et sa clique peuvent arriver.
La cérémonie peut maintenant commencer.
J'aurai d'ailleurs toutes les peines du monde pour me frayer un passage afin d'essayer de faire des photos convenables. En effet, dans ce petit temple il y a, autour du moulin, pas moins de quinze personnes ainsi que trois photographes.
Lorsque le Ripoche sort du temple, il fait une kora pour clôturer définitivement la commémoration.
Tout le monde peut à présent reprendre la direction du gonpa pour commencer, dans la foulée, une puja.
Pendant que le Rinpoche, les lamas et les moines s'installent, je demande au photographe Mani Lama si je peux profiter de ses éclairages pour également faire des photos des fresques ?
Cela ne le dérange nullement. Je vais pouvoir immortaliser à mon tour toutes ces oeuvres bouddhiques d'un autre temps.
Mais, afin de séparer la puja et la photographie des fresques, je vais à nouveau scinder ma page en deux parties.
Le Rinpoche et sa clique peuvent arriver.
Sur place, le Rinpoche est accueilli dans la grande traddition bouddhique par l'offrande d'une khata (écharpe de félicité), qu'il remettra aussitôt au cou de celui qui la lui a donnée. Ce geste sera considéré comme un signe de protection et de voeux précieux.
La cérémonie peut maintenant commencer.
J'aurai d'ailleurs toutes les peines du monde pour me frayer un passage afin d'essayer de faire des photos convenables. En effet, dans ce petit temple il y a, autour du moulin, pas moins de quinze personnes ainsi que trois photographes.
La cérémonie se termine par une distribution de biscuits et de thé.
Lorsque le Ripoche sort du temple, il fait une kora pour clôturer définitivement la commémoration.
Tout le monde peut à présent reprendre la direction du gonpa pour commencer, dans la foulée, une puja.
Mais lorsque nous entrons dans la salle des prières, les photographes népalais, Mani Lama & Kishor Mahajan sont occupés à photographier les vieilles fresques murales du temple.
Pendant que le Rinpoche, les lamas et les moines s'installent, je demande au photographe Mani Lama si je peux profiter de ses éclairages pour également faire des photos des fresques ?
Cela ne le dérange nullement. Je vais pouvoir immortaliser à mon tour toutes ces oeuvres bouddhiques d'un autre temps.
Mais, afin de séparer la puja et la photographie des fresques, je vais à nouveau scinder ma page en deux parties.
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