Cette page, je l'ai déjà publiée le 16 septembre 2013.
Comme elle est hélas toujours d'actualité, j'avais envie de la remettre à la une.
Il y a déjà quelques temps, en me baladant dans un endroit glauque afin
d'y faire quelques photos, mon attention fut attirée par une feuille de papier traînant à terre. Il y était écrit quelques lignes (hâtives) que je vous livre
telles quelles.
Les mots me suffisent, je ne chercherai donc pas à savoir la
nationalité de l’esprit qui a écrit ces lignes.
Nostalgie d’un exilé
Ô ma terre
Mon enfance, jardin de mes souvenirs.
Ô paix tant aimée, tu ne me laisses
qu’un gout amer, amertume semblant de sourire sur mes
lèvres, larmes sur mes joues.
L’ombre des oliviers hante, brise mon âme, cherche l’évasion
qui s’écrase sur des murs de lamentations que la haine nous
sépare a jamais.
Fils d’Ibrahim ou d’Abraham que la haine nous sépare.
Adieu souvenirs d’enfance ……
Seigneur ! Seigneur … nous sommes privés de tout, mais nous
t’aimons et t’implorons du fond du cœur, aide nous à vivre tout simplement.
Ils nous ont tout pris et leurs snipers tirent sur nos
enfants.
Toi qui habite ma maison n’as-tu pas honte.
Nos enfants sont martyrs et ta vie est bâtie sur leur sang.
Votre heure viendra en un coup de vent.
Votre empire est comme un château de cartes, il s’écroulera.
Le poing serré, nous sommes la résistance.
Louanges soit faites à toi seigneur car tu es avec les
justes et nous combattons avec les anges.
Auteur anonyme que nous avons peut être croisé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire