Au soir du quatrième jour de blocage, notre groupe des onze décide, vu qu'on annonce enfin une amélioration de la météo, de tout faire pour pouvoir partir enfin demain matin. Pour mettre toutes les chances de notre côté, nous voulons rejoindre l'aéroport vers les 4h30 du mat, afin d'espérer être en début de file au guichet de Air India et avoir plus de chance de rentrer dans le premier avion reliant Leh pour Delhi.
Lorsque je me lève, il pleut à nouveau et le ciel est toujours aussi bas que les jours précédents. Au diable la météo, les taxis sont de toutes façons, commandés, nous allons donc rejoindre l'aéroport comme prévu.
Sur les trois taxis commandés, seulement deux arrivent à notre guesthouse. Dare-dare, nous enfournons les sacs dans les coffres, puis notre groupe se divise en deux. Nous nous entassons un par un dans les deux véhicules, qui inévitablement se transforment rapidement en boîtes à sardines. Encore heureux que l'aéroport ne se trouve qu'à quatre kilomètres de notre guesthouse !!!!
Arrivés à l'aéroport, nous nous dirigeons, comme les autres jours, directement au contrôle des bagages. Une file de candidats au voyage s'est déjà formée, mais vu l'heure matinale, elle n'est pas encore trop longue. Après seulement une demi-heure, nous faisons contrôler à notre tour nos bagages et ensuite, nous prenons directement place dans la file qui se trouve devant le comptoir de Air India.
C'est maintenant l'attente avec l'espoir que nous n'avons pas fait tout cela une nouvelle fois pour rien.
A la sortie de l’aéroport de Delhi, je me suis précipité dans un taxi qui m'a déposé directement à mon hôtel dans le quartier de Pahaar Ganj. Ce n'est sûrement pas l'endroit le plus calme de la ville, mais par contre, c'est celui où l'on trouve le plus d’hôtels et de restaurants. Je trouve donc que le quartier est "idéal" pour attendre patiemment son avion pour rentrer à la maison.
Question retour, il est évident qu'avec tout ce retard pris à Leh, mon vol initialement prévu pour Bruxelles est parti depuis plusieurs jours et il me faudra acheter un nouveau ticket de retour. Mais pour cette tâche, je téléphonerai à Pascale qui aura sûrement plus facile pour m'en trouver un au meilleur prix sur internet.
Voilà les dernières news de cette épopée que j'appellerais "retour probable à la casa"
Maintenant, je peux profiter de Pahaar Ganj et aller manger du même coup un poulet tikka. Ca, j'en rêve depuis plusieurs jours, je vais donc de ce pas, me faire un énorme plaisir.
A bientôt
Lorsque je me lève, il pleut à nouveau et le ciel est toujours aussi bas que les jours précédents. Au diable la météo, les taxis sont de toutes façons, commandés, nous allons donc rejoindre l'aéroport comme prévu.
Sur les trois taxis commandés, seulement deux arrivent à notre guesthouse. Dare-dare, nous enfournons les sacs dans les coffres, puis notre groupe se divise en deux. Nous nous entassons un par un dans les deux véhicules, qui inévitablement se transforment rapidement en boîtes à sardines. Encore heureux que l'aéroport ne se trouve qu'à quatre kilomètres de notre guesthouse !!!!
Arrivés à l'aéroport, nous nous dirigeons, comme les autres jours, directement au contrôle des bagages. Une file de candidats au voyage s'est déjà formée, mais vu l'heure matinale, elle n'est pas encore trop longue. Après seulement une demi-heure, nous faisons contrôler à notre tour nos bagages et ensuite, nous prenons directement place dans la file qui se trouve devant le comptoir de Air India.
C'est maintenant l'attente avec l'espoir que nous n'avons pas fait tout cela une nouvelle fois pour rien.
Pour notre plus grand bonheur, nous apprenons que la compagnie de transport a décidé de faire plusieurs rotations sur la journée avec ses avions et cela, pour que le maximum de clients puissent rejoindre Delhi. Visiblement, ils ont eu des infos concernant une amélioration atmosphérique.
Effectivement, une fois le soleil levé, il parvient rapidement à chasser les nuages qui stagnaient au-dessus de l'aéroport. Tout ira ensuite très vite; à 8h40, nous sommes sur le tarmac, à quelques pas de la passerelle. C'est la fin du cauchemar !
Finalement, il aura fallu cinq jours pour voir le premier avion de la compagnie Air India sortir de la brume . Je ne saurais vous décrire le sentiment qui m'a envahi lorsque j'ai vu cet oiseau de fer se poser sur le tarmac, mais par contre, je peux vous dire que mes yeux se sont quand même un peu embués. Cette fois, c'est effectivement avec un plaisir non dissimulé que je quitte le Ladakh.
Good bye Leh, good morning Delhi.
A la sortie de l’aéroport de Delhi, je me suis précipité dans un taxi qui m'a déposé directement à mon hôtel dans le quartier de Pahaar Ganj. Ce n'est sûrement pas l'endroit le plus calme de la ville, mais par contre, c'est celui où l'on trouve le plus d’hôtels et de restaurants. Je trouve donc que le quartier est "idéal" pour attendre patiemment son avion pour rentrer à la maison.
Question retour, il est évident qu'avec tout ce retard pris à Leh, mon vol initialement prévu pour Bruxelles est parti depuis plusieurs jours et il me faudra acheter un nouveau ticket de retour. Mais pour cette tâche, je téléphonerai à Pascale qui aura sûrement plus facile pour m'en trouver un au meilleur prix sur internet.
Voilà les dernières news de cette épopée que j'appellerais "retour probable à la casa"
Maintenant, je peux profiter de Pahaar Ganj et aller manger du même coup un poulet tikka. Ca, j'en rêve depuis plusieurs jours, je vais donc de ce pas, me faire un énorme plaisir.
A bientôt
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